Il y a quelque chose dans l’art d’Anne-Claire Landeau de profondément saisissant, cette impression puissante d’une créatrice cherchant à affirmer l’existence en tant que genèse immédiate forme structure , expression nées du moment, sans méditation ou artifice ; art de l’ici et maintenant
dans lequel sculptrice et sculpteur font unité, enveloppées dans la joute du geste, la danse des instants qui se succèdent et qui font naitre le sens de la matière.
Parmi ses nombreux mérites, l’œuvre éblouissante de cet artiste à cette capacité surprenante de nous inviter à revisiter les origines de ce que signifie engager et transformer la matière artistiquement, dans le but de célébrer l’émergence de l’expression pure et primordiale au-delà de l’artifice de la « technique » au-delà de la facticité de la « référence mimétique »
Et c’est ainsi que l’art-(éfact), la mimésis et le réalisme sont à la fois dépassés et renouvelés dans une œuvre surprenante qui donne lieu à quelque chose de tout à fait nouveau et rafraîchissant : une indexicalité épurée, presque impatiente, de l’œuvre d’art une trace née de cette rencontre soudaine entre la matière et la main créatrice de l’artiste témoignage d’un effort artistique qui minimise l’artifice d’amélioration ou de correction après l’acte créatif.
En cela Anne Claire Landeau est une véritable artiste de l’évènement de cette rencontre fortuite et inspirée entre la matérialité donnée du monde et la main d’une artiste qui cultive brillemment , sciemment le contrôle le plus minimal sur la danse aléatoire de la matière.
De cette rencontre nait la source d’expression artistique la plus inspiratrice : la danse sans entrave de la forme ; les incarnations infinies du devenir !
Salah el Moncef.
Parmi ses nombreux mérites, l’œuvre éblouissante de cette artiste à cette capacité surprenante de nous inviter à revisiter le but même de l’art une invitation audacieuse à revenir aux origines de ce que signifie engager et transformer la matière artistiquement, dans le but de célébrer l’émergence de l’expression pure et primordiale au-delà de l’artifice de la « technique » au-delà de la facticité de la « référence mimétique »
Et c’est ainsi que l’art-(éfact), la mimésis et le réalisme sont à la fois dépassés et renouvelés dans une œuvre surprenante qui donne lieu à quelque chose de tout à fait nouveau et rafraîchissant : une indexicalité épurée, presque impatiente, de l’œuvre d’art une trace née de cette rencontre soudaine entre la matière et la main créatrice de l’artiste témoignage d’un effort artistique qui minimise l’artifice d’amélioration ou de correction après l’acte créatif.
En cela Anne Claire Landeau est une véritable artiste de l’évènement de cette rencontre fortuite et inspirée entre la matérialité donnée du monde et la main d’une artiste qui cultive brillamment, sciemment le contrôle le plus minimal sur la danse aléatoire de la matière. De cette rencontra nait la source d’expression artistique la plus inspiratrice : la danse sans entrave de la forme ; les incarnations infinies du devenir !